Il y a effectivement plus de place requise pour les chercheurs en sécurité civile au Québec, et si personne n'agit, ils ne seront jamais sollicités à leurs justes valeurs!
C'est à nous, nouvelle génération d'EM, de placer les conditions propices.
Je suis ravis de voir que tes idées t’ont mené à ce projet et que celui-ci a pris forme. Pour répondre à ta question, j’ai souvent l’impression que la gestion des urgences n’est pas fait en partenariat et se fait souvent par les décideurs et les organes de sécurité sur le terrain. Les personnes citoyennes ne sont pas assez impliquées, les gouvernements et organisations autochtones n’ont pas toujours une voix au chapitre et la gestion des urgences n’est pas toujours faite de manière holistique et trop peu en prévention.
Très bonne plume, et superbe initiative!
Il y a effectivement plus de place requise pour les chercheurs en sécurité civile au Québec, et si personne n'agit, ils ne seront jamais sollicités à leurs justes valeurs!
C'est à nous, nouvelle génération d'EM, de placer les conditions propices.
On l'fait!
Luc Landry, AMU, AMBCI
Je suis ravis de voir que tes idées t’ont mené à ce projet et que celui-ci a pris forme. Pour répondre à ta question, j’ai souvent l’impression que la gestion des urgences n’est pas fait en partenariat et se fait souvent par les décideurs et les organes de sécurité sur le terrain. Les personnes citoyennes ne sont pas assez impliquées, les gouvernements et organisations autochtones n’ont pas toujours une voix au chapitre et la gestion des urgences n’est pas toujours faite de manière holistique et trop peu en prévention.